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Auteur : Alexandre Poncin
Né à Béziers en 1995, Alexandre Poncin est écrivain. Après des études de philosophie à Rennes, il consacre le plus clair de son temps à la poésie sous toutes ses formes (poèmes, notes et fragments). Il propose une écriture intime de l’évènement. Ses poèmes sont publiés dans diverses revues : Cairns, Traction-Brabant, Lichen, L’ours dansant, Hélas!, L’Oupoli, Nouveaux Délits… Il collabore présentement avec Étienne Rousseau, artiste en arts visuels basé au Québec, sur un projet commun, Espaces Élargis, alliant poèmes et peintures. Voir tous les articles par Alexandre Poncin
Alexandre Poncin 
Bonjour Alexandre,
J’ai bien aimé l’image,
c’était joli ; un angle de vue, d’une image.
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Merci Johanne !
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Je t’en prie …
J’aime beaucoup tes textes et leurs images
Il m’ont également été d’un grand réconfort
et d’un endroit à part où je pouvais aller,
pendant toute une période où je ne savais plus où aller.
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Je pense que vous me prêtez beaucoup et je ne suis pas sûr de bien mériter cela mais j’en suis touché et moi aussi réconforté. Merci à vous.
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Je prête l’attention que j’estime.
Une fois je vous ai envoyé une vidéo, parce que vous aviez l’air triste.
J’avais hésité à la mettre ne sachant si vraiment c’était approprié.
J’avais fait attention à ce que les musiciens ne soient pas ceux que j’avais déjà mis dans une autre vidéo ailleurs. Et même si leur prochaine représentation en France était un peu éloignée de là où il me semble que vous habitiez, je trouvais le lien culturel intéressant.
Lorsque vous ne l’avez pas publié, je me suis dit que effectivement peut-être je m’étais trompée et que cette vidéo n’était pas appropriée.
Puis quand plus tard vous l’avais finalement mise en ligne dans les commentaires et que vous y avez mis la phrase que vous avez dite, j’ai pris peur …
Il m’a fallu un temps avant de revenir, même si je continuais à vous lire.
Il n’y a nul besoin de merci, ou peut-être que si, mais de ma part ; j’ai tendance à oublier de le dire tellement des fois je suis prises dans ce que je ressens ou dans le flot de ce qui porte … une sorte de tourbillon de la vie …
J’ai souvent du mal aussi à suivre la cadence, parce qu’énergétiquement cela me prend beaucoup …
Vos images sont reposantes pour cela …
Je les aime, Merci
Johanne
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