Aube
Dans la venelle hivernale
de notre passé
l’aube l’amour captifs
d’une vague idée
portée par une tête lourde
quand vient le soir
l’impossible arrive en vent de couloir
tous feux éteints
il jouera ton jeu
te prendra à ta propre faim
Aube
Dans la venelle hivernale
de notre passé
l’aube l’amour captifs
d’une vague idée
portée par une tête lourde
quand vient le soir
l’impossible arrive en vent de couloir
tous feux éteints
il jouera ton jeu
te prendra à ta propre faim
Ce poème a été publié dans le numéro 93 « À quand un poèmodrôme » de la revue/poézine Traction-Brabant (dir. Patrice Maltaverne) [papier et en ligne] éditée par l’association Le Citron Gare (ISSN : 1771-4788).