Recueil de tercets méditatif, composés d’ariettes et autres choses de peu, dans un monde parfois inaudible.
Illustration des pages intérieures et de couverture : Éric Leroux.
Disponible à la commande en librairie et sur internet via le site de l’éditeur, 5sens éditions, le site des librairies indépendantes et autres sources habituelles (Mollat, fnac, etc…)
Étiquette : éditeur
Circonstances des saisons
[màj] le livre est désormais publié, accessible à la commande en librairie, sur internet (site de l’éditeur, site des libraires indépendants et autres…)
J’ai le plaisir d’annoncer la prochaine publication de mon second livre, Circonstances des saisons, recueil de tercets au fil des saisons et de leur charriage. Il accueille les dessins d’Eric Leroux dans les pages intérieures du livre mais aussi sur la couverture.
Ce livre est édité à nouveau par 5sens éditions (dir. Anne-Lise Wittwer)
Le livre est déjà disponible à la précommande sur le site du librairie indépendant Mollat. Il sera disponible à la commande dans toutes les librairies, sur le site des libraires indépendants et autres sites de vente habituels.
Plus d’informations prochainement.
Circonstances des saisons (à paraître au printemps)
J’ai le plaisir d’annoncer la prochaine parution de mon deuxième livre, Circonstances des saisons. Recueil de tercets, illustrés (pour la couverture et les pages intérieures) par Eric Leroux. Le livre devrait paraître au printemps, chez 5sens éditions.
Ce recueil de tercets puise avec amour et humilité dans une tradition poétique pluricentenaire prenant source au Japon.
J’ajoute mes scrupules d’encre, d’espace et de silence au cairn commun des poètes.
Je souhaite ici accueillir et honorer les présences quotidiennes qui nous escortent dans nos vies. Mais la tâche que je me fixe serait incomplète si je ne tentais pas aussi de consigner la trace vibrante des absents.
Ces tercets ont souvent l’allure concentrée de petites méditations, d’ariettes fugitives, d’instantanés et autres choses de ce genre ; ils sont ces petits dépôts écumants, scintillants, laissés au gré des marées sur l’estran, ce peu de bruits dans un monde parfois inaudible.
Alexandre Poncin livre une poésie intime de l’évènement. Attentive au temps, sa parole souvent se fait vive : elle est aussi bien appel que confidence.
Plusieurs de ses poèmes ont été publiés, notamment dans les revues Cairns, Traction-Brabant, Lichen, L’ours dansant, Hélas!, L’Oupoli, Nouveaux Délits…
Circonstances des saisons est son deuxième livre, après Le Malaise et l’échappée paru chez le même éditeur.
Circonstances des Saisons
[màj] le livre est désormais publié, accessible à la commande en librairie, sur internet (site de l’éditeur, site des libraires indépendants et autres…)
J’ai le plaisir d’annoncer la prochaine publication de mon second livre, Circonstances des saisons, recueil de tercets, édité chez 5sens éditions (dir. Anne-Lise Wittwer).
Ce livre sera divisé selon les saisons. Il sera en outre illustré par Éric Leroux dans ses pages intérieures et pour la couverture. Je lui adresse à nouveau ma gratitude et mon amitié @lerouxeric956

Ce recueil de tercets puise avec amour et humilité dans une tradition poétique pluricentennaire
prenant source au Japon.
J’ajoute mes scrupules d’encre, d’espace et de silence au cairn commun des poètes de l’instant.
Je souhaite ici accueillir et honorer les présences quotidiennes qui m’escortent sur la route, mais
je veux aussi consigner la trace vibrante des absents.
Une voix discrète pour chanter (quand cela est possible) l’évènement, dans le défilé des saisons.
Elle puise son timbre fragile dans le corps ramené à lui-même, c’est-à-dire au monde. Elle atténue et estompe – tant qu’elle dure – la séparation.
Une voix qui se mêle à toute la vie grouillante d’avant-langue.
Ces tercets ont souvent l’allure concentrée de petites méditations, d’ariettes fugitives,
d’instantanés et autres choses de ce genre ; ils sont ces petits dépôts écumants, scintillants, laissés au gré des marées sur l’estran, ce peu de bruits dans un monde parfois inaudible, bref ces ténuités qui existent tant bien que mal au seuil de la pensée et du geste, de l’inspiration et du chant, du silence de la vie et celui de l’écriture.
Circonstances des saisons (à paraître, 5sens éd.)
Circonstances des saisons (avant qu’elles ne se chevauchent) est le titre d’un prochain livre de tercets que j’aurais le plaisir de publier avec le concours des éditions 5sens.
Ce recueil de tercets puise avec amour et humilité dans une tradition poétique pluricentennaire prenant source au Japon.
J’ajoute mes scrupules d’encre, d’espace et de silence au cairn commun des poètes de l’instant.
Je souhaite ici accueillir et honorer les présences quotidiennes qui m’escortent sur la route, mais je veux aussi consigner la trace vibrante des absents.
J’espère pouvoir bientôt vous en parler plus longuement et profite de ce message pour témoigner ma gratitude à toutes celles et tous ceux qui m’accompagnent de leurs retours, conseils, lectures etc… Merci à vous qui prolongez ma voix.
Le Malaise et l’échappée, à paraître en septembre (2)
Comme promis, vous trouverez ci-dessous la page de quatrième de couverture de mon premier livre de poèmes qui paraîtra bientôt aux éditions 5sens. Une transcription texte suit la photographie des pages de couverture. Tout prochainement, je publierai un extrait du livre sur ce site.
Le Malaise et l’Échappée, synopsis :
Violence. Violence ordinaire d’une vie entrain de se faire. Violence des premières et des dernières fois. D’une vie entrain de se défaire en somme. Puis ce malaise qui enfle, qui vous saisit le corps, vous ravit le souffle même. Comme une lierre insatiable qui grimpe et qui se resserre.
Violence des souvenirs et de l’attente toujours relancés, toujours ressassés. De nos saisons qui se chevauchent.
Alors on court sans savoir où aller. D’espoir et d’amours adolescentes on se gratte jusqu’au sang. En fin de compte on s’épuise. L’engourdissement.
Violence, aussi, de l’échappée. S’exposer à la rencontre, ses blessures et son outrage, sa lucidité. Violence d’une joie et d’une colère inentamées, au pouvoir inaugural. Dépassant les mirages de l’insignifiance et du surplomb, aller hors de soi, s’oublier. Au risque de se trouver.